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La vie d'une Blonde à Forte Pointrine (moyennement vrai...)

La vie d'une Blonde à Forte Pointrine (moyennement vrai...)
  • Bienvenue sur ce site, qui, comme tous les blogs, a une tendance fortement nombriliste... Voilà la vie d'une étudiante assistante sociale à l'école de la Croix-Rouge, avec toutes les caractéristiques de BRIDGET.
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7 novembre 2005

Tentatives d'organisation...

Ben oui, quand on est :

1.     tête en l’air

2.     faignant(e)

3.     de mauvaise volonté,

Il faut s’arranger pour essayer de se motiver un minimum, histoire d’avoir une vie un minimum potable…

Alors, j’ai commencé par un truc qui peut paraître bête (d’ailleurs ma cop’s de la Croix-Rouge, Jenny, se moque de moi, la vilaine) mais j’ai pris un cahier tout simple et ça me sert d’agenda. Oui, je sais, c’est pas le genre de trucs super innovateurs mais bon, on fait avec ce qu’on a, hein !

Franchement, ça marche ! Certes, les progrès sont lents et difficiles à détecter mais ils sont là ! Je pense à  faire plein de choses, genre prendre RDV chez le médecin, le jour de mes prochaines règles, enregistrer Top Gun et Point Break… Ca me sert aussi de journal intime et de défouloir. En fait, quand j’ai omis de faire quelque chose par fainéantise, ça me culpabilise tellement que je le fais le lendemain sans faute (ou presque…).

Quand on veut s’organiser vraiment, l’autre truc c’est de faire ses comptes régulièrement. Et voilà encore un avantage de l’agenda/journal intime/cahier de brouillon : les tickets de CB perdus, envolés, kidnappés, qu’on oublie dans un classeur, ..., sont remplacés par « super aprem avec ma Chouette. Vive les magasins de dégriff et les Levi’s à 30 euros !» Et hop, vous vous souvenez avoir dépensé environ 45 euros ce jour-là.

Je dois également avouer que je n’avais pas fait mes comptes depuis environ 2mois/2 mois et demi. Autant dire que les sueurs froides se sont multipliées ! Des tickets de caisse partout !! En particulier certains dont je n’avais aucun souvenir. Heureusement mon super agenda était là pour me rappeler que mon repas à la clinique m’avait coûté 4.50 euros…

ALLELUJAH !

Alors vous pouvez remballer vos trucs électroniques, qui coûtent les yeux de la tête, moi j’ai un super cahier de brouillon Carrefour !

C’est pas tout ça mais faut que j’aille faire mes exos de droit ! Pour une fois qu’on a du boulot perso à fournir dans cette école de merde, je vais pas me plaindre, non plus !

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7 novembre 2005

Le blog des lamentations

Lamentation du jour n°1 : pourquoi suis-je une telle faignante ?

Jeudi, épreuve de quatre heures. Je ne révise pas.

Plus de dix pages de droit à recopier et une trentaine à apprendre. Je ne le fais pas.

Faudrait peut-être songer à aller faire un plein d’essence. Un autre jour !

Tout remettre au lendemain, les psys appellent ça la procrastination. J’ai donc une maladie psychologique. J’vous fais peur, là ? J’aime bien le nom que des psys américains lui donnent : « the « someday i’ll »  philosophy ».

Ce matin pourtant, je me suis levée à 8h30 (tranquille) pour aller à deux heures de cours de droit. Pas cours cet aprem.

Donc ce midi je vais à la zone commerciale de Chambray afin d’acheter… une parure de Princesse ! Ben oui ça peut paraître bête mais je suis sûre que ce collier fait d’étoiles argentées avec boucles et bagues assorties ça va tout déchirer en boîte jeudi ! Maintenant, il se peut que vous ne soyez pas d’accord… ! Je vous en donnerai des nouvelles vendredi.

Bref, tout ça pour dire que je n’ai encore rien fait et que je ne ferai sûrement rien du reste de mon aprèm et de ma soirée. Oh mais bon, y a pire !

Lamentation du jour n°2, qui est pire que la première : pourquoi ce putain d’orage a détruit mon ordi ?!

Eh oui, là, je vous « parle » du vieux Pentium 2 ramené d’entre les morts, et qui rame à fond.

Si j’avais des pulsions autodestructrices, je me taperais volontiers la tête contre les murs, tellement ça m’énerve qu’il soit aussi lent.

7 novembre 2005

questions existencielles du 06 nov 2005

Question du jour : peut-on raisonnablement envisager sortir avec un garçon qui fait 45 cm de plus que vous ?

 

Quand on va en boîte, surtout aux soirées étudiantes, on a deux objectifs en tête : s’amuser et draguer/se faire draguer. Allez, soyez honnêtes… Vous ne pourrez pas me contredire là-dessus.

Bref, vous dansez, vous vous amusez, vous draguez, vous vous faites draguer… Tout est normal. Sauf quand vous mesurez moins d’1m60 et que le garçon (qui est mignon et futur ingénieur, en + ) mesure dans les 1m95.

Alors que faites-vous ? Eh bien, après intense réflexion, vous décidez de l’éviter coûte que coûte. Parce que si danser avec lui vous paraît inimaginables, alors le « + si affinités » qui peut suivre derrière est fortement compromis.

C’est dommage mais c’est comme ça.

 

Ce qui m’amène à la question du jour n°2 : que dire dans un texto destiné à un garçon soigneusement évité toute la soirée en boîte et que vous n’avez pas vu depuis 2 semaines ?

 

Ben oui, cette histoire, ça m’a bien travaillée. Alors, j’ai décidé de mener l’enquête pour savoir ce que ça donnait une fille petite, très petite avec un garçon grand, très grand.

Première source : la télévision !

  1. La série « Sex and the City » que j’adore. Pour ceux qui ne connaissent pas, on va faire simple : tout ce que vous avez besoin de savoir c’est qu’une prénommée Carrie sort avec un Aidan. Et voilà que je réalise leur différence de taille… Elle lui arrive à l’épaule, enfin plutôt à l’aisselle. Ca n’a pas l’air de les gêner, ma foi.

  2. Les pubs de TF1, pour « Joséphine, Ange Gardien ». Ben oui, tout le monde connaît Mimie Mathy et sa taille. Ca ne l’a pas empêché de se marier avec un gars de taille « normale ».

Deuxième source : la pratique.

Le soir d’Halloween, je suis allée boire un verre avec les LEA, dans un Irish Pub fort sympathique. Là, que vois-je ? Le barman est géant. Alors je lui demande sa taille : 1m98. Mouais, je me mets dos à lui discrétos pour vérifier où arrivent ses fesses. Ah oui, je ne vous ai pas dit, le gars rencontré en boîte était dos à moi pendant un instant et j’ai pu constater que – oh malheur – ses fesses m’arrivaient carrément au milieu du dos. Affligeant, n’est-ce-pas ?!

Bref ce mètre 98, c’était un peu trop grand. Plus tard dans la soirée, je « saute » sur un autre grand, lui demande sa taille : 1m90. Un peu trop petit, je trouve. J’ai donc déduis qu’il faisait environ 1m95 le gars de la boîte. 

 

J’ai voulu, pendant un instant, lui demander s’il était déjà sortie avec une fille de ma taille et si oui, comment ça s’était passé, mais vu son état d’ébriété avancé et ma capacité à attirer les boulets, il aurait pu prendre ça pour des avances…

 

Bref, par l’intermédiaire d’une copine qui sort avec un de ses copains, j’ai eu son numéro. La question est maintenant : dois-je le textoter ? Si oui, que dire ? Ou attendre la soirée étudiante de jeudi soir et espérer qu’il sera là ?

6 novembre 2005

1. qu'est ce qu'une Bridget ?

Définition de la Bridget (liste non exhaustive et sujette à modification ultérieure selon vos commentaires et remarques)

N’allez surtout pas croire qu’il faut absolument être une trentenaire désespérée par son célibat, au bord du suicide tant sa déchéance lui semble irrévocable pour être une Bridget . Il y a des Bridget de tout âge, il vous suffit juste d’avoir touché le fond. Attention, je vous vois ouvrir de grands yeux désespérés : Bridget Jones reste néanmoins OPTIMISTE et toute Bridget se doit de suivre son exemple.

Je vous rassure également sur un autre point : ceci n’est pas une secte, qui viserait à prendre Bridge pour un modèle éternel et obligatoire. Certaines prennent les pétasses anorexiques obsédées par leur apparence et la mode pour des guides spirituels et personne ne leur en tient rigueur, alors contentons-nous d’apprendre à mieux connaître Bridget…

Une Bridget se doit d’être une personne tout à fait normale :

-         Elle ne pèse pas 45 kg tout en en faisait un 90D.

-         Si elle claque des doigts en espérant de tout son cœur qu’un homme s’arrête dans la foule, la regarde dans les yeux et lui dise « vous êtes celle que j’ai toujours attendue », ça ne marchera pas.

-         Elle n’a pas tout du premier coup, sa réussite dans les divers domaines de la vie est due uniquement à son travail personnel intense… Euh… Non, là, je m’égare. En effet, la Bridget sait qu’elle n’aura pas du tout du premier coup et que sa réussite dans les divers domaines de la vie sera due uniquement à son travail personnel intense, mais elle est tout simplement incapable de produite le moindre effort. Bridget et travail sont deux mots qu’il serait impensable de mettre dans la même phrase. Quand une Bridget réussit quoi que ce soit, c’est grâce à la chance (ou la malchance) ou à ses dons naturels (bien que leur existence puisse sembler incroyable)

-         Elle n’aime pas tout le monde et tout le monde ne l’aime pas. Certains la trouvent passionnante, d’autres conne comme la pluie, ou bien quelques personnes vous diront qu’elle est très jolie, charmante, top funny, …, ou bien on vous chuchotera à l’oreille – assez fort pour que tout le monde entende -  « quel gros tas, en plus elle a un QI au raz des pâquerettes. Mais comment faire pour s’en débarrasser ?! » .

-         Elle a parfois du mal à choisir ses ami-e-s et les personnes en qui avoir confiance. Elle est partagée entre besoin de reconnaissance et volonté de s’affranchir du regard des autres, parce que « de toute façon, c’est tous des connards qui me font chier à longueur de journée. Ils ont qu’à baiser un peu plus comme ça ils occuperont leurs journées à penser à des trucs cochons plutôt qu’à me chercher des défauts ! » (note de la rédactrice : par souci de clarté, j’ai préféré traduire ses propos plutôt que de les retranscrire exactement comme ils avaient été prononcée par une personne fortement alcoolisée et la bouche pleine de Nutella).

-         Elle voue une admiration sans limite au film « Pride and Prejudice », malheureusement inédit en France. Au cours de mes rencontres avec des personnes de sexe féminin dont j’appréhendais une conversation qui tourne court pour cause d’intérêts divergents, j’ai pu me rendre compte qu’il y a deux sujets qui mettent toutes les filles d’accord : les ragots et « Dirty Dancing ». Evidemment, n’hésitez à partager avec moi le fruit de votre enquête concernant LE film phare des Bridget.

-         Elle fantasme sur des hommes qu’elle n’aura jamais ou qui ne s’intéressent à elle que pour le sexe. Selon votre âge, le fait que les individus de sexe opposé ou identique au vôtre ne partagent avec vous que des orgasmes (ratés ou non, du reste) peut ou non vous indifférer. Mais avouons-nous tout de même que les contes de fées dont on nous bourre la tête depuis notre venue au monde nous pousse à chercher LE gars qui est fait pour nous, quoi que nous voulons en dire.

-         Elle perd beaucoup de temps à ne rien faire, manger, dormir, boire, avoir de longues discussions sur le pourquoi du comment du mystère masculin, à se plaindre… Bref, rien de très productif et qui pourrait l’aider à mener enfin une vie parfaite. En parlant de perfection, elle lit –comme vous devez le savoir si vous avez lu les livres - Cosmopolitan. Vous savez le genre de magazines qui vous explique comment être parfaite, avec les vêtements parfaits sur votre corps parfait, afin de trouver l’homme parfait, parfaitement gentleman et un brin macho pour vous exciter par sa virilité sous-jacente et ainsi avoir les parfaites relations sexuelles que tout le monde devrait voir. Voilà encore une caractéristique typique de Bridget : aimer les magazines débiles (type Cosmo, Public…), comprendre en quoi ils sont néfastes mais les aimer quand même. Solution à ce problème : essayer par la suite de calmer sa culpabilité en lisant des traités féministes, ou en écoutant (ou en faisant semblant d’écouter) une amie en parler.

-        Elle passe par des moments de joie INTENSE mais retombe vite de son petit nuage quand elle commence à se demander "mais pourquoi il a fait ça ?", "et si j'avais dit ça est-ce qu'il ne m'aurait pas répond que...", "est-ce que je vais devoir envoyer un faire-part aux voisins de mes parents ?" et que soudain... il n'est pas l'homme parfait qu'elle avait rêvé.

1 novembre 2005

Le Club Bridget ouvre ses portes ...

Voilà un copier/coller de mon ancien blog, oui, je sais : je suis une grosse feignasse...

Le Club BRIDGET !

Pour les paumé-e-s, les désespéré-e-s et autres sosies de Bridget Jones !

Bienvenue sur le site officiel du Club Bridget !

Tout d'abord bonjour, bienvenue et merci de votre visite !

Vous connaissez toutes et tous Bridget Jones, la célibataire-trentenaire-gaffeuse-irréfléchie de Londres ?

Personnage haut en couleur de la britannique Helen Fielding, elle nous fait parvenir à travers ses écrits intimes sa vie de fille-à-problèmes de la nouvelle génération. Tiens, en voilà une jolie phrase à la Télé7Jours !

Sur ce blog, je vous propose de déterminer avec vous les caractéristiques d’une Bridget afin de monter un club pour tous nous plaindre les uns avec les autres de notre vie terriblement déprimante.

Le but de ce blog n’est pas de se rassurer avec le malheur des autres mais de se montrer solidaires les uns envers les autres, genre Petite Maison dans la Praire.

NB : ce n’est pas parce que vous avez un pénis que vous n’avez pas de problèmes, alors ne faites pas vos timides et partagez vos expériences malheureuses.

***

Etre une Bridget est plus souvent une fatalité qu’un choix mûrement réfléchi. Or, je vais m’employer à tout faire pour vous convaincre des atouts de la Bridget attitude.

Je vais donc commencer par répondre à une série de questions  et des problèmes des plus existenciels :

1. Définition de la Bridget

2. Quelques conseils pour être une Bridget, une vraie

3. Pourquoi adopter la Bridget attitude ?

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1 novembre 2005

Bilan de mon existence, au bout de 18 années

Bonjour, Bonjour !!!

Je profite de l’ouverture de ce blog pour faire un petit bilan de ma passionnante vie…

Aujourd’hui, je peux dire que j’ai atteint tous les objectifs que je m’étais fixé, à savoir :

- obtention du bac ;

- obtention du permis ;

- élève à l'école de la Croix-Rouge.

Ayant fait la conduite accompagnée, j’en étais arrivée au point qu’aller conduire, m’entraîner à faire des manœuvres et autres joyeusetés me donnaient envie de me taper la tête contre les murs. J’en voulais à mes parents de m’avoir obligée à la faire, je leur ai juré que "plus jamais je conduis de toute façon !!" et j’étais dans une phase critique de "j'en ai marre, j'en ai marre, j'en ai marre".
Voilà une histoire qui peut vous sembler triste, démoralisante, etc. Mais il n'en est rien ! Le 12 septembre 2005 (jour de ma rentrée à la Croix-Rouge), j'appelle mon papa, toute tremblante... Et là, c'est la joie, l'explosion, le bonheur absolu, J'AI MON PERMIS. Je vous passe les cris, les "oh putain, oh putain". J'éviterai également de vous parler de mon examinateur ainsi que de transmettre les histoires ridicules qu'il a bien pu raconter, c'est pour votre bien.
Finalement, je passe mon temps en voiture ! Pour aller à l'école, chez le médecin, à la pharmacie, à Atac...

Et comme l'heure est au bilan, première liste (parce qu'en plus, j'adooore les listes)...

Points positifs du permis :

- je peux crâner et ne m'en prive pas ("regarde, je viens de recevoir mon papier rose, tu veux le voir ?")

- plus besoin de payer le vestiaire quand on va en boîte et wahoooo, comment c'est stylé d'arriver en voiture aux soirées étudiantes

- au revoir les trois heures de transport par jour, plus qu'une heure et demie à présent

- je sors et je rentre quand je veux

Points négatifs du permis :

- ça pollue et l'essence, ça coûte cher

- ça m'engraisse

- les radars ne sont pas mes amis

- mais ils ont que ça à foutre les gens de voler des enjoliveurs ?

- merde, feu orange... Je m'arrête, je m'arrête pas, je m'arrête...
- "c'est pas un hôtel, ici ! on aimerait quand même savoir quand tu pars et où", (je cite mes parents).

Parlons maintenant de l'école de la Croix-Rouge... Bien que très fière d'avoir réussi le concours d'entrée et rassurée par le fait qu'assistante sociale, c'est le genre de métier où on ne connaît pas le chômage, je ne peux m'empêcher de penser "mais qu'est ce que je fous dans cette putain d'école ?!".

Outre le manque complet d'organisation, des formateurs chez qui le retard est une maladie chronique, des cours dont l'intérêt ne me saute pas aux yeux, ce qui m'a le plus choqué, c'est la mentalité de certaines personnes.
Alors que de futurs assistants de service social sont censés avoir atteint un certain niveau de maturité, je suis surprise de constater que ce critère qui me paraît évident ne semble pas s'imposer aux yeux de tout le monde. Une des filles, qui est aussi mère de famille, a l'air de croire que ce qui fait rire son fils est une blague universelle : "cassssssséééééé". Ouais, morte de rire je suis. De plus, j'ai l'impression de prendre 30 ans d'un coup, quand je ne partage pas l'enthousiasme général, alors qu'une personne frotte ses baskets contre une chaise, produisant ainsi un petit couinement. Allez savoir pourquoi, je pensais que ce genre de bruit, ça faisait rire en primaire, collège, voire lycée dans le cas de gros boulets mais qu'au bout d'un moment, on s'était mis dans la tête que non, ce n'est pas un pet et même si c'est le cas, on fait comme si de rien n'était.
Enfin je dis ça mais en Allemagne, je faisais la queue dans un magasin et j'ai franchement eu du mal à ignorer cette odeur, comment dire... prenante !


Bref tout ça pour dire que l'an prochain, j'envisage plus que sérieusement de faire fac d'anglais et devenir une english teacher ! Enfin, je dis ça mais on ne sait jamais ce que l'avenir nous réserve, surtout moi...

Déjà quand j'ai su que j'étais prise à la Croix-Rouge, ma première pensée fut .. Bon, ok, ma deuxième pensée fut : "merde, mais j'aurai plus de cours d'anglais et oh là làààà, avec les notes que j'ai eu au bac, c'est pas du gâchis ? tout ce temps passé à réviser mon voc, à lire des livres et voir des films en VO pour rien." Limite, ça m'arrachait le coeur. Ouh là, on se calme, ça tourne un peu tragédie grecque, là ! Pour ceux que ça intéresserait, ma première pensée a été "yesssssssss ! j'ai réussi, j'ai réussi, j'ai réussi !"...

Demain, je rencontre l'AS qui s'occupera de moi pendant mon stage de première année... Le stress est bien présent même si je ne peux pas m'empêcher de me dire que de toute façon, cette école de merde, je l'arrête l'an prochain ...

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